Nick Becker

Fonction: responsable marketing
Chez TdS depuis: 01.01.2016

Ce que je préfère dans mon travail, c’est que j’ai la possibilité de façonner les processus et la communication relatifs au vélo. Pour moi, c’est l’une des meilleures inventions de l’humanité pour la mobilité.
Nick Becker

Pour toi, faire du vélo signifie:
Depuis mon enfance, faire du vélo signifie pour moi: profiter de la liberté, être en route, m’évader.

Ton itinéraire préféré:
Je n’ai pas d’itinéraire préféré. J’aime beaucoup d’itinéraires ici, chez nous, en Thurgovie, mais aussi par exemple dans les Alpes françaises ou dans mon ancien pays, l’Allemagne.

Ta plus belle excursion pendant les vacances:
Briançon – Col du Lautaret – Col du Gallibier – Col du Télégraphe – Col de la Croix-de-Fer – Camping au pied du lac du Verney
Cet itinéraire est simplement indescriptible, mais cela remonte malheureusement à beaucoup trop longtemps.

Quel est le vélo de TdS que tu conduis?
Gravel, bleu clair brillant avec décor noir

Qu’est-ce qui était important lorsque tu as configuré ton vélo?
Depuis des années, j’utilise avec beaucoup d’enthousiasme des composants de SQlab. C’est ainsi que j’ai choisi une selle SQlab 612 active et un ruban de guidon SQ.

Pourquoi as-tu choisi TdS comme employeur?
Je connais TdS déjà depuis 1997 grâce à mes anciens employeurs, car nous étions clients. La coopération a toujours bien fonctionné et le plaisir était de la partie. À l’époque, le père de Reto faisait encore partie des interlocuteurs. Lors de mon dernier changement d’emploi, je voulais quitter un groupe pour revenir dans une entreprise familiale. Au début, j’ai fait la navette entre Kreuzlingen et Cologne et télétravaillé le vendredi. Il y a plus d’un an, je suis venu m’installer près du lac de Constance et profite des nombreux avantages de «notre» région. Le paysage, la nature, le sport avec les collègues et bien plus.

Surtout en hiver, j’apprécie de faire du gravel bike et du cyclo-cross pendant la pause de midi, en été du stand up paddle ou «simplement» du jogging. On trouve toujours des copains, si bien que l’on ne doit jamais partir seul si on ne le veut pas. J’aime faire des expériences communes: découvrir la nature et se connecter avec les autres; c’est incroyable ce que l’on peut sentir, goûter et découvrir sur un itinéraire de 100 km.

Sur quoi travailles-tu actuellement pour améliorer encore tes résultats?
À appliquer la théorie dans la pratique. La gestion du temps et l’autogestion, distinguer entre ce qui est important et ce qui est urgent, et, en même temps, harmoniser mon rôle de membre de la direction avec celui de membre du projet. Nous sommes une petite équipe avec de nombreuses idées et de nombreuses exigences qui nous viennent de l’extérieur – on peut vraiment dire que c’est un travail digne d’un équilibriste.

Comment passes-tu ta pause de midi?
Je ne dis qu’une chose: «Alles in Butter» (rem. du trad.: il s’agit d’une référence à l’émission «Alles in Butter»: Tout baigne (dans le beurre)). Blague à part, j’aime faire la cuisine et manger, mais la pause du midi est plutôt consacrée au sport, par exemple au gravel bike avec les collègues ou au jogging autour du lac.


Ton objectif actuel et pour dans 5 ans
Porter un regard serein sur le monde et moi-même

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